Voilà donc les paroles de l'aria de la cantate "Jesu,der du meine Seele" de Bach (BWV 78) revisitées par mini-moi :
"Tu vas maintenant apaiser ma conscience quicritcrievengencevengeance contre moi-même.
Oui, ton amourfidelfidèle,vatva descendre en elle.
Parce que ta parole medispencedispense l'esperance. (Les accents étaient facultatifs)
Lorsque les chrétiens croient en toi, nul ennemi nesauraisaurait jamais les arracher de tes mains."
J'ai également croisé dans le final :
"(...) lorsque lepêchetpéché et la mort m'assaillent"
"(...) jusqu'aàsece qu'il me soit donné"
Vu mon écriture, je devais être au collège (ouille!)
M'enfin... je lisais apparemment la clé de sol, la clé de fa et la clé d'ut. Je déterminais bien les tonalités, les phrases mélodiques, les cadences et je savais même ce qu'était une tierce picarde! Pas mal, non?
Malheureusement j'ai arrêté de bosser sérieusement la musique en arrivant au lycée. Je me suis arrêtée juste avant de passer le diplôme de fin d'études musicales. Aujourd'hui je me dis que j'aurais mieux fait de continuer et de devenir prof de musique. Les priorités changent au fil du temps...
Malgré le sujet pieux de ce cours, je garde de très bons souvenirs des cours de solfège. J'avais ma bande de copains, ma super copine et mon amoureux secret. On avait trouvé le moyen de tricher pour les lectures de notes. Dans les couloirs du conservatoire on faisait des courses sur les genoux, les jambes remontées au niveau des fesses (oui... difficile à visualiser!) Ma super copine me racontait ses histoires amoureuses estivales. Elle m'impressionnait. Trop forte! Elle avait deux amoureux en même temps!
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